La ville d’Albi est placée depuis hier
au niveau 8 : épisode de pollution aux particules fines et mauvaise qualité de l’air en dépassement du seuil d’information du public. Des précautions sont à prendre, notamment réduire sa vitesse en voiture et limiter les déplacements automobiles.
Malgré les différents courriers adressés à la préfecture par Pascal Pragnère (EELV) et également par Michel Ricard (ARAS, association des riverains du circuit automobile) pour demander au préfet du Tarn de suspendre les activités du circuit automobile aujourd’hui et les jours de pics de pollution, le circuit automobile n’a pas suspendu ses activités aujourd’hui.
Il n’est pas acceptable d’autoriser des activités de loisirs de quelques uns qui nuisent à la santé de tous.
Les pouvoirs publics sont restés sourds à nos demandes guidées par un souci de protection de la santé publique.
Je constate que les pouvoirs publics –garants de la santé publique- font le choix de protéger les activités d’un petit nombre de pratiquants qui méprisent la santé des riverains et des albigeois. Ce positionnement des autorités de l’Etat sur la question du circuit automobile est inquiétant et pose des questions sur sa neutralité.
Je profite de cette occasion pour renouveler ma demande pour qu’une étude d’impact des activités du circuit automobile soit réalisée, ce qui n’a encore jamais été accepté.
Pascal Pragnère
Secrétaire départemental Europe Écologie Les Verts
La ville d’Albi est placée depuis hier au niveau 8 : épisode de pollution aux particules fines et mauvaise qualité de l’air en dépassement du seuil d’information du public. Des précautions sont à prendre, notamment réduire sa vitesse en voiture et limiter les déplacements automobiles.
Malgré les différents courriers adressés à la préfecture par Pascal Pragnère (EELV) et également par Michel Ricard (ARAS, association des riverains du circuit automobile) pour demander au préfet du Tarn de suspendre les activités du circuit automobile aujourd’hui et les jours de pics de pollution, le circuit automobile n’a pas suspendu ses activités aujourd’hui. Il n’est pas acceptable d’autoriser des activités de loisirs de quelques uns qui nuisent à la santé de tous.
Les pouvoirs publics sont restés sourds à nos demandes guidées par un souci de protection de la santé publique. Je constate que les pouvoirs publics –garants de la santé publique- font le choix de protéger les activités d’un petit nombre de pratiquants qui méprisent la santé des riverains et des albigeois. Ce positionnement des autorités de l’Etat sur la question du circuit automobile est inquiétant et pose des questions sur sa neutralité.
Je profite de cette occasion pour renouveler ma demande pour qu’une étude d’impact des activités du circuit automobile soit réalisée, ce qui n’a encore jamais été accepté.
Pascal Pragnère
Secrétaire départemental Europe Écologie Les Verts